Trois semaines durant, j'ai accompagné les infirmières de Caritas Georgia aux chevets de malades. Trop pauvres pour payer les frais d'hospitalisation, trop fragiles pour se déplacer, ils sont entièrement dépendants du travail remarquable de l'association. La chute du Mur de Berlin a laissé des traces et a mis à nu un les nombreuses failles d’un système soi-disant égalitaire. Nombre de Géorgiens sont, aujourd’hui, laissés au bord de la route. Et chaque jour, Lia et Inessa parcourent une centaine de kilomètres pour rendre visite à leurs patients. Je les ai suivies avec mon appareil photo.






















Ces images représentent une partie du reportage, qui sera disponible prochainement sous forme de livre et d’exposition.